Dame blanche et moi-même vous souhaitons un merveilleux week-end, ensoleillé et heureux !
Merci beaucoup pour tout ce que vous déposez sur ma petite planète et votre fidèle présence, c'est un plaisir double de partager avec vous.
Emphase
Vous êtes la plus belle Napée
Au grand jamais, terre n'a porté
Comme vous, si jolies beautés
Vous êtes la plus belle Napée
Qu'il m'ait été donnée d'admirer
Un regard, un mot me fait vibrer,
Me fait frémir et m'élever
Quand il vient de vous
Réunissez toutes les couleurs,
Les mélangez,
Créez le blanc ; dame pureté
Me promenant une nuit d'été
J'en vins à regarder les arbres
Ils me fixèrent d'un air sévère
Et perçant, et ils me déroutèrent
La robe d'une demoiselle que j'ai
Effrayée en arrivant sans bruit
Derrière elle, me rappelle votre cou
Blanc et sucré dont l'odeur rend fou
Le ciel était comme vos cheveux
Sombre et profond comme l'ébène
Il ondulait délicatement
Et Ô flottait langoureusement
Les étoiles dans le ciel, comptez
Vous saurez combien d'éternités
J'aimerais passer à vos côtés.
(Flavien Mombo)
Merci beaucoup pour tout ce que vous déposez sur ma petite planète et votre fidèle présence, c'est un plaisir double de partager avec vous.
Emphase
Vous êtes la plus belle Napée
Au grand jamais, terre n'a porté
Comme vous, si jolies beautés
Vous êtes la plus belle Napée
Qu'il m'ait été donnée d'admirer
Un regard, un mot me fait vibrer,
Me fait frémir et m'élever
Quand il vient de vous
Réunissez toutes les couleurs,
Les mélangez,
Créez le blanc ; dame pureté
Me promenant une nuit d'été
J'en vins à regarder les arbres
Ils me fixèrent d'un air sévère
Et perçant, et ils me déroutèrent
La robe d'une demoiselle que j'ai
Effrayée en arrivant sans bruit
Derrière elle, me rappelle votre cou
Blanc et sucré dont l'odeur rend fou
Le ciel était comme vos cheveux
Sombre et profond comme l'ébène
Il ondulait délicatement
Et Ô flottait langoureusement
Les étoiles dans le ciel, comptez
Vous saurez combien d'éternités
J'aimerais passer à vos côtés.
(Flavien Mombo)